À l’ombre des constellations
À l’ombre des constellations
L’aube entrouvre un silence, aux paupières d’ambre,
Là, ton âme s’éclaire en éclats cristallins.
L’entends-tu ce frisson, ce murmure qui chambre
Le vide de l’instant, les chemins orphelins ?
À jamais, par-delà les contours de la terre,
Ton regard de velours sonde l’essentiel.
Ce lien hors du temps, sans dogme ni repère,
Étreint l’univers comme un souffle originel.
D’un geste suspendu, la lumière hésitante
Effleure nos fronts lourds de pensées trop humaines.
Et mon cœur, dérouté, frôle l’ombre vibrante
Où le verbe s’efface, et la clarté s’emmène.
Une étoile en prière descend sur nos tempes,
Tisse un chœur invisible entre chair et lumière.
Et l’amour, en sculpteur, modèle ce qui trempe
Dans l’argile du doute, la forme la plus fière.
Sous l’arche d’un soupir, nos présences s’invitent,
Chaque geste devient une lente offrande.
Le monde s’estompe, les matières s’effritent
Ne reste qu’un écho d’émotion qui commande.
Aux plis du firmament, nos pensées s’unifient,
Pareilles à des flammes cherchant leur demeure.
Et l’absolu s’écrit dans la page assoupie
D’une nuit sans contours, d’un instant qui demeure.
Le silence, souverain, murmure ses lois douces
Rien ne dure, dit-il, sauf le geste sincère.
Et nos âmes, offertes, dansent avec les mousses
D’un monde évanescent, mais tendrement solaire.
Coucou mon @mi(e)
RépondreSupprimerJuste pour te dire
Belle et douce soirée
Bon & @gréable weekend
Gros bisous..de moi *Shirley*
Très beau blog
RépondreSupprimerbonne soiree une bonne nuit a demain samedi et bon week end bisous
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